Nonfiction.fr vous propose cette semaine un dossier consacré à Guy Debord et au mouvement des Situationnistes, façon de revenir sous un autre angle, sur mai 68.



AU SOMMAIRE :

La critique du livre de Fabien Danesi, Le mythe brisé de l'Internationale situationniste (Presses du Réel), par Jean-Christophe Valtat.
Un livre précieux sur l’Internationale situationniste, cette avant-garde qui fut une œuvre.
 

 

 

La critique du livre de Stéphane Zagdanski, Debord ou la diffraction du temps (Gallimard), par Yan Ciret.
Des pages d'une rare force où éléments de la vie et de la pensée de Debord dessinent, pour l'auteur, les contours d'une admiration sans bornes.
 

La recension du même ouvrage, plus critique, par Fabien Danesi.
Un éloge inconditionnel de Debord. Mais n'est-ce pas oublier la leçon de celui-ci du rejet des modèles d'autorité ?
 

La critique du livre de Raoul Vaneigem, Entre le deuil du monde et la joie de vivre (Verticales), par Yan Ciret.
Mêlant l'autobiographie à la critique, Vaneigem dresse un bilan de sa participation au groupe situationniste, éternellement écartelé entre pulsion de mort et instinct de vie.
 

 

 

La critique du septième volume de la Correspondance de Guy Debord (Fayard), par Yan Ciret.
Les dernières lettres de Debord enfin rassemblées dans ce septième volume de correspondance.


 

 

Retrouvez le dossier 68 de nonfiction.fr.


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Conception du bandeau de Une : Julien Collin pour nonfiction.fr.