A lire cette semaine sur nonfiction.fr :

 

Amérique latine

-Catherine-Eve Roupert, Histoire d’Haïti. La première république noire du Nouveau monde, par Wien Weibert Arthus

Un ouvrage en hommage au peuple haïtien mis complètement à genoux par le séisme du 12 janvier 2010.

Arts appliqués

-Gilles Clément, Une brève histoire du jardin, par Julie Rodriguez

De sa première apparition jusqu'au re-questionnement du concept, Gilles Clément nous livre un condensé de réflexion autour de la notion de jardin.

Histoire

-Wilfried Stroh, La puissance du discours. Une petite histoire de la rhétorique dans la Grèce antique et à Rome, par Philippe Rousselot

Une vaste fresque historique, technique et vivante à la fois, au service d'une vieille gloire de la culture occidentale : la rhétorique.

Linguistique

-Raphaël Micheli, L’émotion argumentée. L’abolition de la peine de mort dans le débat parlementaire français, par Aurore Lambert

Alors que la rhétorique classique assignait au pathos un simple rôle d’adjuvant au discours, Raphaël Micheli, chercheur en linguistique, propose ici une hypothèse originale : les émotions seraient des arguments comme les autres. 

Littérature

-Jean-Charles Darmon, Philosophie de la fable. Poésie et pensée dans l’œuvre de La Fontaine, par Mathieu Bermann

Jean-Charles Darmon fait un point complet sur les liens entre la fable et la philosophie.

-Karoline Leach, Lewis Carroll. Une réalité retrouvée, par Julie Aucagne

La vie de Lewis Carroll dépouillée des clichés et des ombres qui l’ont entourée depuis plus d’un siècle.

Moyen-Orient

-Luis Martinez, Violence de la rente pétrolière. Algérie, Irak, Libye, par Thomas Richard

Au moment où le printemps arabe semble marquer le pas, une remise en perspectives des spécificités des pays arabes producteurs de pétroles, hors de la région du Golfe, et des spécificités des régimes à avoir bénéficié de cette manne.

Sociologie

-Sébastien Roux, No money, no honey. Economies intimes du tourisme sexuel en Thaïlande, par Pierre-Alexis Tchernoivanoff

A partir d’une enquête ethnographique menée à Bangkok, No money, no honey propose une sociologie critique du tourisme sexuel contemporain