Littérature
<p>L’argent va-t-il l’emporter sur les mots ? Les exigences de rentabilité sans fin des investisseurs ayant fait main basse sur le monde de la culture vont-t-elles nous condamner "à la seule consommation de best-sellers, de journaux misérablement asservis ou de séries télévisées ineptes" ? C’est cette question qui est au cœur de <i style="">L’Argent et les mots</i>, dernier essai de l’éditeur américain André Schiffrin, fervent défenseur de l’édition indépendante, qui prolonge ici une réflexion engagée dans <i style="">L’Edition sans éditeurs</i> (1999) et <i style="">Le Contrôle de la parole</i> (2005).</p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; line-height: 140%;"><o:p></o:p></p>
Lire la suite