Pourquoi on n'en a toujours pas fini avec les universaux
[jeudi 24 mars 2011 - 14:00]
Philosophie
Couverture ouvrage
Les Universaux. Une introduction partisane.
Éditeur : Editions d'Ithaque
208 pages
David Armstrong nous introduit au cœur d’un problème très ancien, qui n’est ni un pseudo-problème ni une réserve pour l’histoire de la philosophie, et qu’il revient à la métaphysique d’examiner : le problème des universaux.

La métaphysique contemporaine doit beaucoup au philosophe David Armstrong et le livre que publient les éditions Ithaque, traduction d’un ouvrage remarquable1 par sa clarté et l’étendue de son investigation, est l’occasion d’étendre l’influence d’une recherche qui n’a de cesse de rapprocher la métaphysique de la science. Dans Les Universaux, une introduction partisane, David Armstrong, alors en pleine maîtrise de ses positions, nous introduit au cœur d’un problème très ancien, qui n’est ni un pseudo-problème ni une réserve pour l’histoire de la philosophie2, et qu’il revient à la métaphysique d’examiner : le problème des universaux.

Si l’ouvrage se présente comme une introduction que tout étudiant en philosophie ferait bien de se procurer, il intéressera aussi les philosophes professionnels et toutes les personnes curieuses de savoir comment le projet d’une métaphysique empirique parvient à interroger la structure ultime du monde. Ainsi, à la question de savoir si deux roses rouges partagent une même propriété – la rougeur – l’auteur nous propose une excursion dans une variété de théories rivales - et c’est immédiatement que l’impact du questionnement produit son effet. Oui, car à la lecture d’un véritable livre de métaphysique, et le livre de David Armstrong en est un, il y a bien un effet qui l’accompagne, une manière pour l’esprit de s’engager dans un chemin de connaissance qui ne cherche pas la rupture avec les sciences, bien au contraire, mais plutôt la meilleure des doctrines qui, au-delà de la physique, pourra révéler cette structure du monde.3

Le livre relativement court (162 pages) balaie de façon méthodique et intelligible les points de vue en compétition à propos des universaux. Il est suivi de deux textes, plus récents (2004), concernant les propriétés, qui montrent combien la connaissance en métaphysique évolue et progresse.

Le problème des universaux se pose lorsque l’on cherche à rendre compte du "fait que deux choses différentes, deux particuliers différents, peuvent être du même type."4 Cette distinction entre deux particuliers séparés, qui s’applique à presque toutes les choses, portent-elles, en elles, quelque chose qui leur serait identique ? Les deux roses rouges partagent-elles quelque chose de strictement identique ? Si on défend cette forme d’identité entre deux choses différentes, si on croit que la rougeur est un constituant des deux roses, alors on croit à la réalité des universaux. Par contre, si l’on pense que la ressemblance entre les choses, la ressemblance qui unit deux roses rouges n’est pas une stricte identité, alors on pense, avec John Locke, que "les seules choses qui existent sont des particuliers". Et ceux qui défendent ce point de vue, selon la tradition, sont appelés "nominalistes".

Si la bataille que laisse la tradition peut nous paraître très éloignée de nos préoccupations, David Armstrong nous rappelle néanmoins qu’elle est celle qui nous conduit à une question fondamentale : "quelles sont les caractéristiques les plus générales de la réalité ?"5 Et le problème des universaux, tel que le formule l’auteur6) devient alors le moyen par lequel l’investigation peut s’engager. Reste que pour mener à bien cette investigation, une supposition minimale s’impose, à savoir "qu’une certaine classe d’occurrences [qui] délimite un type n’est pas quelque chose que nous déterminons" et l’auteur d’insister, réitérant la thèse d’indépendance du réalisme métaphysique qui est la condition même de toute l’entreprise : "Qui sommes-nous pour déterminer la nature des choses ?"7

Dans cet ouvrage, l’auteur rend d’abord compte de deux formes de nominalismes : le nominalisme des classes naturelles (chapitre 2) et le nominalisme de la ressemblance (chapitre 3). Ensuite, deux formes de réalismes sont exposées : les universaux comme attributs (chapitre 5) et les tropes (chapitre 6). Un chapitre intercalé entre les théories nominalistes et réalistes (chapitre 4) considère deux modèles de particuliers : la théorie des substances avec attributs et la théorie des faisceaux d’universaux.

Les chapitres 2 et 3, consacrés au nominalisme, tombent d’emblée sous le coup du sous-titre de l’ouvrage intitulé "une introduction partisane". En effet, l’économie ontologique, résultante de la réponse nominaliste au problème des universaux, se trouve, selon l’auteur, immédiatement mise en difficulté lorsque l’on tente de répondre à la question : 'Une chose est-elle la sorte de chose qu’elle est – par exemple, un électron – parce qu’elle est membre de la classe des électrons ? Ou est-elle plutôt un membre de la classe parce qu’elle est un électron ?"8 Pour Armstrong, la réponse à ces questions, et ce n’est pas une bonne nouvelle pour le nominalisme, consiste à affirmer qu’une chose est membre de la classe des électrons parce qu’elle est déjà un électron et qu’en conséquence, il est plus naturel de parler d’abord de la propriété d’une chose et ensuite de sa classe. Ainsi, analysant la réponse nominaliste, le métaphysicien réaliste qu’est David Armstrong, usant d’un argument causal, avance sa position : c’est en vertu de leurs propriétés que les choses agissent – c’est en vertu, entre autres, d’une certaine masse m que la pierre lancée dans la vitrine se brise. Ainsi, lorsque le nominaliste rend compte des propriétés en disant de quelle classe la chose est membre, c'est-à-dire, à propos de la pierre lancée, en tenant compte de toutes les choses ayant une masse m, ce n’est pas pertinent. Ce n’est, en effet, pas en vertu de son appartenance à la classe des choses ayant une masse m que la pierre lancée brise la vitrine ! C’est ainsi que lorsque le nominalisme – ce n’est pas le cas de tous les nominalismes9 – n’admet pas les propriétés, il nous livre un monde d’objets dénués de structures, des particuliers "amorphes". Et pour Armstrong, il est probable que ce ne soit qu’une fausse économie faisant émerger, au fond, beaucoup plus de problèmes qu’il n’en peut résoudre.10

Pour un réaliste, une théorie nominaliste, même lorsqu’elle fait appel à une autre théorie, comme la ressemblance, pour analyser la notion de classe, dans la mesure où elle n’admet pas les propriétés, ne peut trouver grâce à ses yeux. Pour le nominalisme de la ressemblance, il n’existe que des particuliers concrets et ce qui rend vrai certaines attributions de propriétés aux particuliers est qu’ils se ressemblent. Par exemple, ce qui fait que la rose est rouge est que la rose ressemble à d’autres particuliers rouges comme d’autres roses, mais aussi à des tomates, à des pommes, etc. Bien que ce nominalisme soit pour Armstrong la meilleure forme de nominalisme, quand il fait appel à la nature particularisée pour fonder la ressemblance, c'est-à-dire quand il considère que les choses se ressemblent en raison de ce qu’elles sont de par leur nature propre, elle reste une théorie des particuliers amorphes. Ainsi, même si ce nominalisme peut attribuer un pouvoir causal à la nature particularisée d’une chose, tout ce que dira le nominaliste de la ressemblance, c’est que la chose agit en tant qu’elle ressemble à certaines choses ayant un pouvoir causal particularisé. En soutenant cela, le nominalisme - même le meilleur ! - réintroduit ce qui ne possède aucune pertinence causale.11 C’est que, pour ce nominalisme, posséder une propriété n’est finalement qu’une façon de parler.

Le chapitre 4 qui conduit progressivement le lecteur vers le cœur du livre (chapitres 5 et 6), débute avec l’hypothèse qu’il y a dans le monde des propriétés et des relations et questionne le lien que ces dernières entretiennent avec la chose individuelle. L’expertise du métaphysicien rend, ici particulièrement, le problème accessible. Dans un style simple et précis, avant qu’il n’ait à défendre dans les chapitres suivants, l’idée que les propriétés sont des universaux répétables, il brosse habilement les positions des deux modèles qui se disputent l’allégeance des philosophes : La théorie des substances avec attributs et la théorie des faisceaux.12 Immédiatement, la première théorie semble répondre à ce dont nous faisons l’expérience : des particuliers-ayant-certaines-propriétés. On considère alors que ces propriétés sont ce que les choses sont (la bille est sphérique, dure, transparente, etc.), et que bien qu’elles soient intimement liées aux choses, nous les distinguons. Mais pour Locke, nous rappelle l’auteur, cette distinction entre le substratum (le je-ne-sais-quoi) et les propriétés qu’il supporte n’est qu’un postulat que certes l’esprit doit effectuer mais qui demeure inconnaissable. C’est de là nous explique Armstrong, que la théorie des faisceaux prend sa source et nous conduit à ne pas distinguer le particulier de ses propriétés. Le particulier n’est alors qu’un faisceau de propriétés. C’est ainsi qu’un choix est à faire entre d’un côté une ontologie des substances avec attributs et de l’autre des faisceaux de propriétés, chacune d’elle, également divisibles en deux, selon que l’on opte pour les universaux ou les propriétés particulières (tropes).

Armstrong aborde et développe avec méthode et grande objectivité chacune des théories et pousse son enquête vers ce qui constitue la raison même de son ouvrage : quelle est la substance du monde ? Ici, "substance" se comprend comme une chose susceptible d’avoir une existence indépendante.13 Et le chapitre se clôt, après maints développements et clarifications de thèses à propos de la comprésence et de la construction du faisceau et de tous les problèmes que soulève cette ontologie, en particulier quand, selon Russell, ils sont des faisceaux d’universaux, nous orientant alors peu à peu vers le point de vue qu’il soutient : la substance du monde n’est pas constituée d’universaux ; il est préférable de les concevoir comme attributs des particuliers.14

Le chapitre suivant est alors l’occasion pour David Armstrong de justifier son ontologie de particuliers et d’universaux. Et c’est à partir de quelques analyses métaphysiques fermement construites qu’il nous dévoile ce qui constitue les marques de son réalisme. Parmi celles-ci, la toute première d’entre elles, est sa différence avec les Formes platoniciennes. De transcendants qu’ils étaient, Armstrong ramène les universaux "sur Terre" pour les faire séjourner dans les choses (in rebus). C’est ainsi que s’ouvre la voie des particuliers structurés chers au philosophe australien : les états de choses. Pour Armstrong, le particulier a possédant la propriété F est un état de choses, et si a est F alors a et l’universel F existent. Toutefois a pourrait exister sans que a soit F. C’est pourquoi le fait que a soit F implique quelque chose de plus que l’existence de a et de F unis par l’instanciation.15 C’est ainsi que notre monde est un monde d’états de choses comprenant des particuliers et des universaux, qui en sont les constituants. Une deuxième marque de l’ontologie d’Armstrong est la conception de ces universaux immanents, comme manières d’être.16 La propriété comme manière d’être est ce qui permet à Armstrong de la relier très étroitement à la chose, renforçant ainsi l’instanciation qui devient la connexion fondamentale entre les particuliers et les universaux. Un grand nombre de notions – on ne peut les évoquer toutes - et qui sont autant d’éléments de la cohérence du projet métaphysique, telles que les notions de particuliers "épais" et "fins" ou encore la différence cruciale entre les prédicats et les propriétés, jalonnent ce chapitre central et préparent l’espace à la théorie rivale, celles des propriétés particulières ou tropes, que développe le chapitre 6.

C’est que les états de choses, constitués de particuliers et d’universaux, ont aussi leur lot de difficultés et, c’est très honnêtement que le philosophe le reconnait. L’une d’entre elles, la localisation multiple, directement liée au retour des universaux sur Terre, demeure quelque chose de bien insolite et d’étrange.17 Comment en effet, comprendre qu’une seule et même entité, par exemple la charge e d’un électron, puisse être aussi présente dans un second électron situé à un endroit différent. C’est pour le moins une bien mystérieuse propriété que celle d’être entièrement présente dans plus d’un endroit en même temps ! Ne comprendrait-on pas mieux ici les universaux platoniciens situés en dehors de l’espace et du temps ? Mais une difficulté, peut-être encore plus épineuse qui émerge dans la théorie des états de choses est le fameux lien fondamental de l’instanciation que l’auteur justifie comme un primitif qu’aucune analyse n’explique.18) Mais comment admettre une notion primitive dont on a du mal à dire ce qu’elle peut bien signifier ?

La théorie des tropes, objet du chapitre 6, du moins celle qui retient toute l’attention du métaphysicien, à savoir celle qui au sein d’une théorie de la substance avec attributs reconnaît l’existence des propriétés comme particuliers (version soutenue par C. B. Martin et J. Heil), pourrait bien porter en elle la réponse à ces deux problèmes tellement inconfortables pour la théorie des universaux. Alors Armstrong nous explique et développe la théorie concurrente des manières d’être particularisées qui admet l’existence d’états de choses sans instancier d’universel. Pour Armstrong, cette version tropiste est de loin la théorie la plus puissante pouvant rivaliser avec la sienne.19 Mais les tropes peuvent-ils suppléer les universaux ? Pour Armstrong la théorie des tropes soutenue par les axiomes de la ressemblance ne peut traiter l’identité qu’en vertu d’une coïncidence métaphysique.20 Et pour Armstrong c’est là une difficulté très sérieuse. Mais que dire du lien primitif fondamental de l’instanciation. Que choisir entre coïncidence et mystère ? Primitives, la ressemblance comme l’instanciation sont le résultat d’un acte d’accointance21, mais ce qui les différencie c’est pour l’une, un lien transgatégoriel qui demeure étrange et pour l’autre une relation interne survenant sur les natures particularisées des choses ressemblantes. Mais, le dernier coup de la partie qui se dispute entre tropistes et universalistes n’est pas joué estime le métaphysicien22 et il se pourrait bien que l’on en soit qu’au début d’une seconde phase du jeu.

C’est alors que les textes de deux conférences récentes données en 2004, et qui termine le livre, donnent une idée de ce que peut être un déplacement dans ce jeu entre des théories qui se disputent la place centrale sur l’échiquier de la recherche de la substance du monde. Le texte intitulé Quatre disputes sur les propriétés, en particulier, reprenant certains aspects des théories développées dans le livre se focalise alors sur les divergences à propos des propriétés.

Les deux premières disputes sont l’occasion de faire le point sur le match qui se joue entre tropistes et universalistes et de reconnaître que les universaux sont des entités encore plus étranges que les tropes mais d’ajouter que l’identité entre les particuliers doit être le point de départ.23 La troisième dispute concerne un point qui n’est pas soulevé dans l’ouvrage : Les propriétés sont-elles qualitatives ou sont-elles des pouvoirs ? Alors que l’approche des propriétés comme qualitatives est d’inspiration empiriste, la seconde, remonte à Platon qui suggérait que les pouvoirs étaient la marque de l’être [Sophiste 247e]. Cette division entre ces approches des propriétés en ajoute une autre et concerne les lois de nature. Alors que selon le point de vue des propriétés comme catégoriques, ce sont les lois de nature, traditionnellement vues comme contingentes, qui fournissent les vérifacteurs pour les vérités dispositionnelles, lorsque les propriétés sont les pouvoirs eux-mêmes ou dispositions, les lois ont alors pour vérifacteurs les pouvoirs eux-mêmes. Si Armstrong soutient l’idée que les propriétés confèrent des pouvoirs à leurs porteurs, dans la mesure où il soutient aussi que les propriétés sont catégoriques, alors ces pouvoirs sont la conséquence des lois de nature.24 Cette troisième dispute est aussi l’occasion de présenter le point de vue de C. B. Martin et J. Heil sur une thèse moins connue, mais qui n’est pas sans attrait, celle du double aspect des propriétés. Selon ces deux philosophes, les propriétés seraient à la fois catégoriques et dispositionnelles. Armstrong, cependant, à propos de cette approche soulève le problème de la connexion entre les deux aspects. Alors que Martin défend l’identité entre les aspects catégoriques et dispositionnelles, Armstrong convoque l’erreur de catégorie et, ironique, compare cette identité à celle qu’aurait un corbeau et un bureau24 !

La quatrième dispute est notable car elle montre comment le travail en métaphysique peut évoluer dans le contexte d’échanges d’arguments philosophiques propre à la tradition analytique. C’est encore à propos de la difficile question du lien entre universel et particulier. Le lien qui relie le particulier et l’universel, l’instanciation, est présenté par les universalistes comme "non relationnel". C’est curieux de dire qu’un lien est non relationnel. Armstrong le reconnaît, parle même d’une proposition désespérée26, mais de nouvelles recherches (Baxter 200127) pourraient bien ouvrir l’impasse : "la chose qui instancie un universel contribue à constituer cet universel."26 Armstrong alors, parce qu’il juge la proposition de Baxter "remarquable", tente de la mettre en adéquation avec sa célèbre théorie de la relation entre universaux que développa dans les mêmes années, Tooley et Dretske (1977). Travail qu’il complète dans le dernier texte : "Les propriétés ont leurs propriétés par nécessité". Ainsi va le travail en métaphysique contemporaine qui n’en n’a pas vraiment fini avec la question que pose le jeune Socrate dans Parménide : comment les particuliers se rapportent aux Formes ?

Un livre important donc et que les éditions Ithaque nous permettent enfin de lire en français et qui ne peut qu’occuper une place située au cœur de nos ouvrages de référence.



rédacteur : François LOTH, Critique à nonfiction.fr
Illustration : vissago-flickr.com

Notes :
1 - Paru pour la première fois en 1989 et plusieurs fois réédité depuis.
2 - Pour une approche historique du débat entre « nominalistes et « réalistes », cf. A. De Libera, La querelle des universaux de Platon à la fin du moyen-âge, le Seuil, 1996.
3 - Le livre La structure du monde, objets, propriétés, états de choses, Vrin, 2004, édité et préfacé par l’un des traducteurs du livre de David Armstrong, Jean-Maurice Monnoyer, est un exemple de la puissance et de la diversité de l’école métaphysique australienne.
4 - p. 14
5 - p. 19
6 - "Qu’est-ce qui distingue les classes d’occurrences délimitant un type de celles qui ne le font pas ?" (p. 27
7 - p. 27
8 - p. 42
9 - Les tropes, par exemple, qui sont des propriétés admises comme des particuliers.
10 - pp. 53 et 75
11 - p. 67
12 - p. 77
13 - p. 92
14 - p. 93
15 - p. 109
16 - p. 117
17 - p. 119
18 - "… je pense maintenant que la relation d’instanciation est d’une certaine façon un problème plus enquiquinant pour la théorie des universaux que la relation de ressemblance ne l’est pour la théorie de la ressemblance." (p. 72
19 - p. 143
20 - p. 159
21 - Armstrong parle à propos de l’instanciation "d’appréhension directe" (p. 130).
22 - p. 162
23 - p. 166
24 - p. 174
25 - p. 174
26 - p. 177
27 - "Instanciation as Partial Identity", Australasian Journal of Philosophy, 79, p. 449-464.
28 - p. 177
Titre du livre : Les Universaux. Une introduction partisane.
Auteur : David Armstrong
Éditeur : Editions d'Ithaque
Titre original : Universals: An opiniated introduction
Nom du traducteur : Stéphane Dunand, Bruno Langlet et Jean-Maurice Monnoyer
Collection : Science et Métaphysique
Date de publication : 01/10/10
N° ISBN : 291612019X